• Bon je ne me pose plus la question, enfin plus en ses thermes, mais c'est une question qui ma plus depuis longtemps:

    POURQUOI ET COMMENT BIEN MOURIR

    Dans nos société occidental basé sur le culte de la jeunesse, du marche, du cul et de plein d'autre mperde dont je profite a font, c'est une question un peut bizare. Enfin pour moi sa veuit dire

    POURQUOI ET COMMENT BIEN VIVRE

    L'échange, contre quoi j'échange ma vie. Contre quoi justifier ma mort aux milieux de mes 7 milliard de semblables qui m'étouffe. Je vais être plus précis. Je me fou que l'ont sache que j'ai exister ou pas, que j'était génial ou le dernier des con, je n’ai pas besoin de dieu pour cela, pas de religion, pas de moral ou d'autre chose comme sa. Je veux juste savoir comment vivre le présent, le merveilleux présent, avec une vision pleine, celle des causes et des effets, celle qui dépasse les causes et les effets, celle qui ne peut s'exprimer pleinement par les mots et qui me permet de te connaitre la ou ton âme et sans peur, au delà de tes besoins et de tes envies.

    Putain ou sont les êtres humains. Ceux que la vie, que la douleur, que la lenteur a bien forgée. Ou sont ceux qui ne ceux juge pas a leurs compte en banque, a leurs façon de consommer a leurs petit moi exacerber par la société infantile de consommation. Ou sont ceux que j'ai connu autour des feux, l’abas dans les sables du désert, assis sans un mot avec peut dans le ventre et un verre de thé piquant dans la main. Le silence et la paix, un sourire... Merde faut que j'aille rouler....


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  • [./sunset_s1.html]

    [Web Creator] [LMSOFT]

     

    L'homme frappait sur son tambour,

    Ses mains noires comme l'ébène allais et venais sur un rythme cassé, saccadé.

    L'instrument posé entre ses cuisses musclées semblait un prolongement de son membre gonflé.

    L'homme frappait sur son tambour,

    Dans le ciel, piqueter d'étoiles froides, la deuxième lune sombrait avaler par l'horizon. Bientôt le soleil brûlerait la plaine de ses rayons de feux humide.

    Il serait temps alors ! Temps de ce levé, de vivre, d'allez récolter la sève de l'arbre noir, l'arbre soleil, l'arbre de vie.

    L'homme frappait sur son tambour,

    Autour de lui, le village était vide, endormie, sans un bruit, écoutant, retenant la froideur sèche de la nuit hostile, sur le rythme du tambour.

    L'homme frappait sur son tambour,

    De ses mains la magie ancienne revenait à la vie.

    L'homme jouait, les yeux clos, le corps en sueur.

    L'homme jouait comme il avait fait l'amour cette nuit et la femme endormie sous sa hutte, gémie de plaisir dans son sommeil.

    L'homme frappait sur son tambour,

    Ses pieds profondément soudé à la terre, le membre gonflé vibrant à l'unisson de son instrument, le corps parcourut d'étoile, d'univers, à peine créer, même pas encore rêvé.

    L'homme frappait sur son tambour,

    Et la magie s'envola de ses mains en pluies de diamants et de souffrance vers la plaine. Et le temps s'arrêtât là, pour entendre, pour jouir, pour ce nourrir.

    L'homme frappait sur son tambour,

    Et les mots oubliés, ceux des vielles légendent, des dieux ignobles et des femmes lascives s’éveillaient enfin pour inonder la plaine.

    L'homme frappait sur son tambour,

    Et le vent finit par porter son langage à mes oreilles.

    Les histoires qui vont suivre sont ces histoires.

    Juste de la vie sortis des mains d'un homme frappant sur son tambour.

     


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  • Bon c'est parti. Sa fout les trouilles la. J’étais tranquille pénard dans ma campagne à cultiver mes abeilles en souriants jaunes devant le monde, quand soudain sans prévenir je me retrouve ici a taper des conneries qui n'intéresserons personnes et même pas moi. Putain je suis con! Mais bon faut que je t'explique. Un moment sa à fait BOOM dans mon crane. J’étais là tranquille a peigner la girafe devant mon ordinateur en me demandant si j'allais regarder un site de cul ou un épisode de Dr HOUSE quand soudain les résultats des européenne ou europpene ou je ne sais plus, sont tombé. Allez savoir pourquoi sa ma fait un électrochoc, une onde de colère douce comme la langue de ma femme descendant ma colonne vertébrale.

    60% d'abstention, mes semblables dans un élan de raison enfin retrouvé avait donnée un signe. Gloire au dieu que tu veux, je ne suis pas sectaire. J'y est vue mon signe. Un truc entre la farce (la vie) et le drame. 60% il était temps pour moi de décrire dans ses pages comment je voie motre univers. Non! Notre univers, enfin pour ce que sa change.

    Alors voila, je fou mon casque, je fais hurler le VTWIN et c'est partis.

    Précision t'est pas obliger d'aimer sa, tu peux même me le faire savoir, sa changera pas grand chose, mais sa permettra de passer le temps.

     

     

     

     


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